Hello les jet-lagueuses, les jet-lagueurs, les rêveurs d’escales et les insomniaques du retour de vol.
Ça va faire huit ans qu’on tient la barre de Jet-Lag Magazine. Huit ans qu’on travaille comme des acharnées à dénicher des lieux où l’âme respire, des hôtels qui racontent autre chose qu’un standing, et des récits de voyage qui ont un vrai fond, un style, une voix. Bref : on fait un magazine indépendant. De notre mieux.
Alors oui, ce n’est pas toujours facile. On ne va pas vous mentir : ce n’est pas le rêve Pinterest version avion en business. C’est des heures à écrire, à mettre en page, à répondre à des mails restés sans réponse, à relancer des RP qui vous snobent tant que vous n’avez pas 100k followers (spoiler : on s’en fout). Mais c’est aussi des éclats de rire en plein désert de sel, des prises de tête pour une typo, des frissons à la lecture d’un récit brut, vrai, intime.
Jet-Lag Magazine, c’est quoi ?
C’est un magazine 100 % indépendant. Sans pub déguisée. Sans contenu acheté. C’est une petite équipe réduite, mais avec une exigence XXL. C’est un ton à part comme il y en a peu dans l’univers des média. Pas de “bucket list” ni de “5 lieux incontournables”. Des histoires. Du vécu. Une esthétique. Un peu de mode, beaucoup de sens, et l’idée folle que le voyage, ça peut transformer quelque chose en nous.
Qui est derrière Jet-Lag Magazine ?
C’est moi, Christel Caulet, journaliste encartée. Quand l’idée de créer un magazine de voyage est venu à moi, j’ai aussitôt appelé mes copines journalistes et l’équipe s’est formée. D’abord Sophie Bousquet et Juliette Rigal puis Norah el Bouzidï nous a rejoint. Sans oublier nos journalistes pigistes qui nous filent un gros coup de main.
Quelle est la ligne éditoriale du magazine ?
Jet-Lag Magazine, c’est du voyage avec du fond et du style. On raconte des lieux comme on parle d’une rencontre — avec de l’émotion, du regard, du vécu. Chez nous, c’est des récits immersifs, des destinations à contre-courant, un soupçon de mode, une obsession pour le beau, l’authentique, et des textes ciselés comme une coupe de Champagne bien servie. On est là pour donner du sens au voyage, pas juste pour vous filer une carte postale retouchée. Notre ton ? Littéraire, un peu piquant, toujours personnel.
Notre mission ? Réconcilier l’aventure et l’esthétique. Notre tempo ? Hors du flux. À rebours des algorithmes.
Est-ce un magazine papier ou uniquement en ligne ?
Il a été en papier. Il a même été très beau (dos carré collé, photos léchées, papier mat). Mais imprimer, en 2025, c’est un luxe que seuls les gros groupes peuvent se permettre. Alors aujourd’hui, Jet-Lag Magazine vit en ligne, et en PDF à télécharger, sans rien perdre de son ADN. On reste un magazine au sens noble, pas un blog de bons plans. On envisage de publier certains ouvrages pour redonner du sens avec certains livres. Et on prépare déjà des formats vidéo et audio… pour aller encore plus loin dans l’expérience.
Quelle est la différence avec les autres magazines de voyage ?
– On n’a pas fait de contenu sponsorisé déguisé jusque là. Mais les choses évoluent et on ne sait jamais.
– On ne parle pas de destinations qu’on n’a pas visitées.
– On ne cherche pas à plaire à tout le monde : On parle aux curieuses, aux sensibles, à celles et ceux qui aiment le hors-carte.
– Et surtout, on ose le temps long. Le détail, le silence, les contradictions aussi.
Ici, pas de « bucket list », mais des récits où le lieu devient un personnage.
Jet-Lag Magazine, c’est un magazine de voyage qui parle aussi de vous, au fond.
Pourquoi ce nom : Jet-Lag Magazine ?
Parce que le décalage horaire, c’est notre ADN. Le jet-lag, c’est ce moment où tout flotte, où le cerveau n’a pas encore atterri, où on regarde les choses autrement. C’est là que surgit la poésie, la perte de repères, la possibilité de se réinventer. Jet-Lag Magazine, c’est ce temps suspendu où le voyage se transforme en émotion. Et puis on aime bien jouer avec le mot : décaler le regard, casser les codes, perturber la carte postale.
À qui s’adresse ce magazine ?
À toutes celles et ceux qui ne veulent pas voyager comme tout le monde.
À celles qui préparent leur valise comme un rituel.
À ceux qui cherchent un hôtel pour se reconnecter, pas juste dormir.
À celles qui vivent dans l’hémisphère sud de leur tête.
À ceux qui fuient les hashtags et les plans trop vus.
Bref : A une communauté de voyageuses sensibles, exigeantes, curieuses, stylistes du quotidien, qui veulent des récits vrais et inspirants. Si tu es là, c’est que tu es déjà des nôtres.
Et pourquoi on vous dit tout ça maintenant ?
Parce que le modèle est en train d’évoluer. On est en train de convertir nos meilleurs articles en masqué pour des raisons évidentes d’un ras le bol général (ensemble de notre équipe) à découvrir du plagiat sur nos pages, car tout le monde se sert allègrement. Et même si vous êtes de plus en plus nombreux à nous lire, à nous écrire, à nous dire que Jet-Lag vous inspire, cela nous rend chèvre.
Mais, certes côté Google, côté visibilité, c’est pas encore la bamboche. Pourtant, on a déjà fait le grand ménage (ce que l’on ne referra plus) :
– Nouveau site (on a supprimé notre ancien jet-lag-magazine.com pour tout rapatrier sur jet-lag-trips.com)
– Nouveaux numéros en PDF : Nous avons finalement décidé de poster les magazines en format pdf.
– Nouvelles idées d’émissions vidéo (oui, ça arrive)
– Et un vrai recentrage sur ce qu’on veut défendre : un journalisme de voyage de caractère.
Ce qu’on prépare (et ce qu’on espère) :
– Des reportages hors formats.
– Des escapades vintage, sensibles, radicales.
– Des collabs avec des gens qu’on admire (hôtels, marques, créateurs).
– Et surtout, un lien plus fort avec vous.
Parce qu’on est encore là, pas grâce aux algorithmes, mais grâce à vous.
Quels sont les derniers numéros de Jet-Lag Magazine ?
Jet-Lag Magazine en est à son numéro 35. Chaque numéro est un univers à part entière, conçu comme un magazine print (même s’il vit aujourd’hui en ligne).
Les derniers numéros ont exploré :
– #35 – Pause radicale : voyages vintage, Brésil en décalé, slow beauté, valises qui claquent et désert intérieur sans oublier nos voyages splendides en Mongolie, au Laos, au Nicaragua et en Slovaquie.
– #34 – Mariages : des échappées belles pour se marier autrement (Hawaï, Tyrol, Cappadoce, Kuala Lumpur)
– #33 – Green : nature radicale, retraites contemplatives et mode éco-pointue.
– #32 – Nordique : virées au-delà du cercle polaire, design brut et silence blanc.
Quels sont les thèmes abordés dans chaque numéro ?
Chaque numéro est pensé autour d’un thème fort. Pas juste une ligne édito floue : Un vrai parti pris.
Ça peut être une sensation (“Exil”, “Spiritualité”), une géographie (“Montagnes”, “Désert”), une vibe culturelle (“Rituels”, “Collectif”) ou un lifestyle (“Nomade moderne”, “Art de vivre”, “Objets trouvés”).
Le thème donne le ton, la direction, la couleur du magazine. Et tout le contenu s’aligne là-dessus — textes, photos, mood. C’est ça aussi, notre rigueur d’indépendance.
Est-ce que Jet-Lag Magazine parle uniquement de destinations luxe ?
Non. On parle de luxe de sens, pas de standing aveugle. Oui, on aime les beaux lieux, les hôtels qui ont une âme, les matières nobles et les vues imprenables. Mais le critère, ce n’est pas le prix : C’est le frisson. On a parlé d’un hôtel design au cœur du Wadi Rum, d’une ferme radicale en Islande, d’un lit suspendu dans la jungle de São Tomé… Ce qui nous plaît, c’est l’inattendu, le subtil, pas le m’as-tu-vu.
Est-ce que je peux lire un exemple de carnet de voyage ?
Oui, et c’est même le cœur du magazine. Chaque numéro contient des récits longs, incarnés, écrits à la première personne. Tu voyages dans un texte, pas juste dans une liste. Par exemple :
– “Jordanie, carnets de lumière”
– “Kyoto, l’aube d’un monde suspendu”
– “Laos, à contre-courant du confort”
– “Ou comment trois fuseaux horaires m’ont réconciliée avec ma mère” (si, si)
Tu veux un extrait ? Dis-moi et je t’en poste un.
Y a-t-il des interviews dans le magazine ? Avec qui ?
Oui, mais pas les interviews de promo à la chaîne. On choisit des femmes inspirantes, des créateurs à contre-temps, des voyageurs radicaux, des artistes habités.
Exemples ?
– Marie Courroy (Modetrotter) sur sa façon de faire sa valise.
– Des architectes nomades.
– Des artistes nous ont offert de vrais moments de complicité.
– Des fondatrices de marques green qui ont tout plaqué pour tracer ailleurs.
– Et aussi… des femmes qui voyagent seules, sans storytelling, juste leur vérité.
Ce sont des gens qui vivent vraiment ce qu’on raconte.
Quelle place est donnée à la mode, au design, à la beauté ?
Une place centrale. Pas comme une rubrique, mais comme une sensibilité. Chaque voyage est aussi une expérience esthétique. Le design, c’est le décor qui raconte une histoire. La mode, c’est comment tu t’habilles pour marcher ailleurs. La beauté, c’est ta peau dans un hammam à Amman, tes cheveux dans le vent du Yucatán, le rouge à lèvres que tu remets à la frontière. On ne traite pas ça comme un magazine féminin, mais comme une signature sensible.
Peut-on découvrir des hôtels ou restaurants confidentiels ?
C’est même notre spécialité. On ne liste pas qu’un seul hôtel par ville, parfois deux restaus.
Pas de “best of” impersonnel. Que du vécu, du testé, du choisi avec obsession. Et souvent, des lieux pas encore passés dans les radars, ou alors vus autrement. Si on parle d’un lieu, c’est qu’on l’aime, qu’on y a dormi, ou qu’on a longé ses murs en se disant “là, c’est un endroit pour Jet-Lag”.
Quels types de photos ou de visuels retrouve-t-on dans le magazine ?
Des visuels qui respirent. Pas des photos ultra retouchées. Beaucoup de lumière naturelle, des cadrages qui laissent de l’air, des couleurs douces ou crues, selon la vibe du lieu. Parfois prises par nous, parfois par des photographes qu’on aime, parfois glanées comme des polaroïds de terrain.
Mais jamais de stock, jamais de déjà-vu. On aime le grain, la distance, le silence dans l’image.
Jet-Lag, c’est aussi un œil.
Où peut-on acheter Jet‑Lag Magazine ?
- Sur le site Jet‑Lag‑Trips.com, où chaque numéro PDF est directement téléchargeable (par ex. #34)
- Pour les versions papier : abonnement postal possible (bulletin disponible via le PDF de présentation) .
- Certains anciens numéros physiques sont encore trouvables chez l’éditeur ou en auto‑édition, comme le n°14 vendu à 8,0 € .
Combien coûte un numéro ?
Numéro PDF (ex. #34) : 8 €. on envisage également de créer des packs été
- Pack été (magazine + guide city‑guide + check‑list) : 12 € .
- Version papier (ancien) : exemple, n°14 à 8€
Existe-t-il une version PDF ? Est-elle payante ?
Oui, chaque numéro sort en PDF haute qualité (80 pages pour le #34), et est payant : 8 € le magazine seul, tarifs supérieurs pour les packs à venir.
Puis-je m’abonner au magazine ? Quels sont les avantages ?
Oui. Deux formules :
- Abonnement papier (1 an / 4 numéros) : présent dans le bulletin, tarif 90 € par an (mail postal) .
- Abonnement Club PDF : à partir de 8 €/mois, permet accès à chaque nouveau numéro dès sortie, check‑lists bonus, et bientôt contenu audio.
- Bonus exclusifs : check‑lists (valise, packing…), extraits audio (édition #34 par Christel), city‑guide, etc..
Quels anciens numéros sont disponibles ?
- Archive complète des numéros 1 à 34 accessible via le site .
- Tirages physiques limités pour certains numéros d’un temps.
Résumé en tableau :
| Question | Réponse synthétique |
|---|---|
| Où acheter ? | Sur le site, en PDF, ou versions papier via abonnement/éditeur |
| Prix d’un numéro PDF | 8 € (pack 12 €) |
| Version PDF payante ? | Oui |
| Abonnement possible ? | Oui, papier (90 €/an) ou Club PDF (8 €/mois) |
| Contenu abonnement Club | Accès PDF, bonus audio & check‑lists |
| Anciens numéros disponibles ? | Archives PDF 1–34 et tirages papier limités |
Quelles destinations ont été couvertes dans Jet-Lag Magazine ?
Jet-Lag Magazine a parcouru les continents avec une seule obsession : aller là où les autres ne vont pas ou ne regardent pas pareil.
Parmi nos carnets de voyage les plus marquants :
– Jordanie (Aqaba, Wadi Rum, Pétra, Mer Morte)
– Laos, Brésil, Mongolie, Kyoto, Irlande, Tanzanie, Slovaquie, São Tomé, Islande, Mexique (Yucatán)
– Londres, Tokyo, New York, Mérida, Floride, Nicaragua…
Et aussi des fragments d’Espagne, de Grèce, du Canada, de Portugal, de République dominicaine, de Slovénie, de Suède, et des coins perdus de France.
On ne vise pas la quantité, mais la profondeur du regard.
Est-ce qu’il y a des guides par pays ou par ville ?
Oui, et pas dans le sens « 10 choses à faire à Rome ». Nos guides dans notre lemagdesvoyageurs magazine gratuit sont éditorialisés, centrés autour d’un récit, d’un quartier, d’une ambiance. On privilégie le format « carnet de voyage + city guide chic + adresses vécues », avec peu d’adresses mais toujours sélectionnées avec soin. Et on est en train de déployer des pages hub par destination pour améliorer l’accès depuis le site.
Est-ce que le magazine parle de destinations hors des sentiers battus ?
C’est même notre marque de fabrique. On ne cherche pas l’originalité à tout prix, mais le décalage juste. Parfois c’est un lieu peu connu (São Tomé, Slovaquie, désert de Gobi), parfois c’est un nouveau regard sur une destination déjà vue (Londres autrement, Floride sans voiture, Brésil côté jungle design).
Notre credo : Faire entrer du souffle là où tout le monde respire la même chose.
Y a-t-il une rubrique pour les voyages en famille / solo / amoureux ?
Pas en tant que rubrique. Mais oui, ces dimensions sont là — en creux, dans les récits. On parle de voyage solo au féminin, de liens familiaux qui se recomposent à distance, de romance discrète dans des lieux suspendus, de parenthèses à deux ou à soi-même. Ce n’est pas marketé, c’est vécu, raconté, incarné. Jet-Lag Magazine ne vous dit pas “voyagez seule !” — il vous montre comment certaines le font, et ce que ça change.
Quels sont les pays qui inspirent le plus Jet-Lag Magazine ?
– Les pays à fort contraste poétique : Mongolie, Jordanie, Laos.
– Les îles lointaines et décalées : São Tomé, Islande, Japon hors saison.
– Les villes-caméléons : Londres, Tokyo, Mexico, Mérida, Naples.
– Et la France cachée, celle des hôtels de charme dans l’Aveyron ou d’un spa confidentiel à Toulouse.
En vrai, ce qui nous inspire, c’est la tension entre ce qu’on projette sur un lieu… et ce qu’il nous rend en retour.
Est-ce que le magazine parle aussi de France ?
Oui, et de plus en plus. Mais pas les circuits balisés façon dossier été des féminins. On parle de France vue de biais :
– un spa ancestral à Toulouse,
– une évasion design en Aveyron,
– une échappée belle à Brive la Gaillarde et ses environs…
Notre France est sensible, un peu brute, jamais lissée.
Et bientôt, un dossier complet “France radicale” est prévu dans les futurs numéros.
Si vous aimez Jet-Lag Magazine, parlez-en, partagez, soutenez. Et si vous êtes nouvelle ici : bienvenue. On ne vous promet pas le monde en 48h. Mais on vous promet du vrai voyage. Avec du style.
Pourquoi le magazine dit-il être à « contre-courant » ?
Parce qu’on ne surfe pas sur les tendances. On ne fait pas des destinations “en vogue”, des contenus “SEO-compatibles” ou des formats Instagrammables à l’extrême. Jet-Lag Magazine va là où les autres ne vont pas — ou ne regardent pas. Contre-courant ne veut pas dire marginal : Ca veut dire libre.
Libre de choisir un hôtel pour son silence. Libre de raconter un voyage en 44 000 signes si c’est la seule façon juste. Libre de publier un numéro entier sur le désert, sans jamais parler de sable chaud et cocktails.
Contre-courant, c’est aussi refuser de céder à l’urgence de produire du contenu vide. On préfère un seul vrai récit, plutôt que dix articles génériques. Bref, on pense que la beauté vient avec le pas de côté. Et on s’y tient.
Quelle est la vision du voyage portée par Jet-Lag Magazine ?
Voyager, ce n’est pas consommer une destination. C’est s’en imprégner, se laisser déplacer, être bousculé parfois. Jet-Lag Magazine ne vend pas des “expériences”, il invite à une mise en mouvement intérieure. Le voyage peut être une fuite, une quête, un soin, une fracture, une mue. Nous, on veut raconter ça. Avec de la matière, du doute, de l’étrangeté, de la sensualité, du vrai.
Quelles sont les valeurs du magazine ?
- Indépendance éditoriale : Pas de publi-reportage, pas d’arrangements, pas de partenariats planqués. On dit les choses en vrais quand elles arrivent.
- Créativité libre : Textes longs, récits fragmentés, photos silencieuses, ton singulier. On n’imite personne.
- Respect du lecteur : Pas de banalités. Pas de recyclage. Pas de “5 trucs à faire”.
- Sincérité : Si une destination déçoit, on le dit. Si un lieu bouleverse, on le montre.
- Intégrité visuelle : Pas de photos retouchées à outrance. Pas de filtres qui mentent.
- Écoute du monde : Chaque lieu mérite d’être approché avec délicatesse. C’est notre boussole.
Est-ce que le magazine parle de slow travel / tourisme responsable ?
Oui. Mais pas à coups de slogans. Le slow travel, chez nous, c’est prendre le temps d’un récit, choisir une seule ville plutôt que cinq pays en trois jours, valoriser l’inattendu, l’ancrage, le sens.
Le tourisme responsable, c’est éviter les lieux en surchauffe, valoriser les initiatives locales, interroger notre propre posture de voyageur. Pas pour cocher une case, mais parce que c’est ce qui nous semble juste. Et surtout : Parce qu’on en a marre du bruit et de la vitesse.
En quoi est-ce un magazine génération Z ou tourné vers l’avenir ?
Parce qu’il est indépendant, digital, désillusionné mais audacieux, comme cette génération. Parce qu’il ne croit plus aux images parfaites ni aux récits idéalisés. Parce qu’il propose un média lent, artisanal, sincère, féminisé, loin de la performance et des codes genrés. Parce qu’il parle de doute, de solitude, d’amour, de réinvention, de beauté fragile — sans mode d’emploi. Et parce qu’il veut construire autre chose : Un journalisme de voyage qui respecte l’intelligence et la sensibilité de ses lecteurs. Jet-Lag Magazine, c’est un média de l’après.
Quelle place pour l’intime, l’émotion, le regard personnel ?
Centrale. Jet-Lag Magazine ne raconte pas “des lieux” : Il raconte ce que ces lieux font aux gens.
On écrit à la première personne. On parle de silences, de souvenirs qui remontent, d’histoires de famille qui refont surface à Pétra ou sur une plage à Bahia. On assume la subjectivité, l’émotion, le regard personnel — même flou. Parce que c’est là que ça devient intéressant. Ce qu’un voyageur ressent, c’est souvent plus fort que ce qu’un lieu montre. C’est ça qu’on veut capter. Et transmettre.
Pourquoi je ne trouve pas le magazine sur Google ?
Parce qu’on a refait un grand ménage SEO : Nouveau site, suppression d’anciennes URL, refonte complète. Google doit travailler sa mémoire pour réindexer tout ça et comme il n’est pas vraiment adepte des modifications, cela prend du temps C’est long, c’est frustrant, mais normal après une migration/réorganisation. Un conseil : Optimiser les backlinks, créer du contenu régulier (posts, guides, partenariats) et relancer l’indexation via Google Search Console pour accélérer.
Est-ce que Jet‑Lag Magazine est présent sur Instagram ? TikTok ? Pinterest ?
Oui, on est sur plusieurs réseaux :
- Instagram : Poste des extraits, visuels forts, reels éditoriaux (ex. ton #34 en reel)
- Pinterest : Dédié aux moodboards, visuels richement esthétiques
- TikTok : En test, avec des formats courts de coulisses et city-guides — après avoir été piraté, on n’a toujours pas repris nos publications tant ces outils nous exaspèrent.
Comment recevoir la newsletter ?
Facile : Un formulaire d’inscription est disponible en footer du site. Une fois inscrite, tu reçois un éditorial mensuel, des extraits de numéros, et des avant-premières vidéo/podcast. (Re)joins la communauté, c’est là que ça breake.
Quels sont les prochains projets du magazine ?
Voici ce qui arrive :
- Lancement de formats vidéo (mini‑reportages, interviews immersives).
- Rédaction de city guides thématiques enrichis, accessibles depuis le site.
- Rubriques Club exclusives : audio, packing lists, moodboards…
- Collabs créatives avec designers, photographes, écolodges.
- Version papier collector — un rêve longuement caressé, bientôt concrétisée.
Est-ce que le magazine a été cité dans la presse ?
Oui, on a eu quelques mentions dans la presse spécialisée (blog voyage, écolodges, lifestyle) et des partenariats éphémères dans des newsletters de créateurs/travel curators. On renoue aussi avec quelques journalistes, notamment à l’occasion du lancement du site revu.
Peut-on lire les articles gratuitement ?
Oui et non.
- Gratuit : Le blog reste accessible — conseils, récits courts, inspirations voyage.
- Payant : Les numéros PDF complets et les contenus Club sont réservés aux abonnés ou aux achats à l’unité (8 € le numéro).
Bref, un entre‑deux : on donne, mais on se fait aussi payer — pour continuer à exister librement.
En somme, Jet-Lag Magazine propose bien plus qu’un simple guide de voyage : C’est une véritable invitation à l’évasion sensible et engagée, pensée pour les femmes aventure et authenticité. Entre destinations inspirantes, conseils pratiques et vision poétique du voyage, ce numéro digital illustre parfaitement l’esprit Jet-Lag : Libre, curieux, et résolument féminin.
